Vaccination : la 4ème dose est-elle l’overdose ?

Septième vague de Covid-19, quatrième campagne de vaccination et toujours le même constat : plus on vaccine et plus les effets secondaires s’aggravent. Jusqu’où et jusqu’à quand cette folie ?

Vaccination anti-covid-19
Vaccination anti-covid-19 (Pixabay)

« Je reçois de nombreux jeunes pour des problèmes cardio-vasculaires, reconnaît ce médecin cardiologue de Lorraine qui préfère rester anonyme pour éviter les foudres du Conseil de l’ordre. Mon cabinet ne désemplit pas. C’est la même chose chez mes confrères. Les effets du vaccin ? Forcément, mais il ne faut pas le dire ! »
Médecins et scientifiques s’interrogent sérieusement sur les effets secondaires graves des vaccins et leur implication dans la dégradation de l’immunité naturelle, à force d’injecter le même antigène dans le corps.
C’est ce que soutient cette étude publiée dans la Revue Médicale Suisse en précisant que « La pathogenèse de la COVID 19 peut impliquer un mécanisme bien connu qui pourrait avoir des implications sur la maladie : celui des anticorps facilitants (ADE en anglais).

L’exemple édifiant de l’Allemagne

Autrement dit, plus on vaccine et plus on favorise l’émergence de la maladie et plus on crée de nouveaux variants toujours plus résistants aux vaccins. Un exemple concret, en Allemagne.
La revue « eugyppius » publie une carte établie le 28 juin 2022 par l’Institut Robert-Koch (équivalent allemand de l’Institut Pasteur) intitulée : « Omicron BA.5 préfère les Allemands de l’Ouest hyper vaccinés et masqués et évite l’ancienne RDA. »
En effet, on distingue nettement la frontière entre l’ex-Allemagne de l’Est et l’ex-Allemagne de l’Ouest sur cette carte. Explication : « Les Allemands de l’Est ont une expérience directe de la propagande gouvernementale et se sont montrés plus résistants à la campagne de vaccination que les Occidentaux. Leur récompense, après avoir été beaucoup dénigrés par les médias d’État, est maintenant un niveau plus élevé d’immunité naturelle et un taux plus faible d’infection par le BA.5, qui semble préférer les populations vaccinées. »

Le vaccin plus dangereux que le virus

Les constats se multiplient qui vont dans le même sens. « La situation ne cesse de s’aggraver pour les vaccinés, malgré l’absence de changement dans la vaccination. C’est la saison Omicron, de mars à juin (la fin de la saison de la grippe). Les hôpitaux, les compagnies aériennes et plus n’ont pas de personnel pour cause de maladie. Le tout avec des vaccins obligatoires » twitte le DKS Data Consulting Group (Canada).
« L’explosion de décès dans les pays les plus boostés, met en évidence une virulence accrue pour les multi-injectés » affirme de son côté le blog du Pr Patrice Gibertie.
Augmentation des cas de SARS-CoV2, des hospitalisations et des décès parmi les populations âgées vaccinées pendant la poussée du variant Omicron (B.1.1.529) au Royaume-Uni, confirme le site de prépublications scientifiques MedRvix.
En France ? « Du 1er janvier au 13 juin 2022, 306 524 décès, toutes causes confondues, sont enregistrés en France à la date du 24 juin 2022, soit 6,5 % de plus qu’en 2019 (+ 18 623 décès). Ce nombre est toutefois encore provisoire et sera révisé à la hausse dans les prochaines semaines » écrit l’INSEE.

Quel vaccin ?

Un lien avec la Covid-19 ou avec les vaccins ? Pour l’instant, on ne sait pas. Ce que l’on sait en revanche, c’est que le vaccin Pfizer, le plus injecté en France, lorsqu’il est apparu il y a 18 mois, devait être maintenu à une température de -70° C. Or, aujourd’hui, les vaccins sont conservés dans un simple réfrigérateur à +3 ou + 4 degrés. Ce vaccin a été conçu pour combattre la souche initiale dite de Wuhan. Or, celle-ci a complètement disparu pour laisser place aux nombreux variants qui ont pris la suite, jusqu’aux BA.4 et BA.5 actuels. On peut donc se demander quelle est l’efficacité de ce vaccin sur les nouvelles formes du virus. Et si les énormes stocks engrangés par l’Europe ont été renouvelés ou pas.

L’exemple de Florence Hainon

Florence Hainon, la galère après la vaccination (DR)
Florence Hainon, la galère après la vaccination (DR)

Florence Hainon a 48 ans en 2021. C’est une jeune femme dynamique, sportive, en pleine forme qui vit dans la région d’Avignon. Son fils aîné fait ses études en Suisse. En pleine pandémie, elle souhaite se faire vacciner pour le récupérer pendant ses vacances estivales.
En juillet 2021, elle se fait vacciner avec le vaccin Pfizer. Elle sait qu’elle a un terrain allergique. Elle en parle à son allergologue pour faire un bilan et savoir à quoi s’en tenir. Résultat : tous les vaccins lui sont interdits, sauf le Pfizer.

Plainte contre l’État

« Mercredi 28 juillet 2021, je me déplace au centre de vaccination de Montfavet. Réponse du médecin en lisant mon dossier : « je vous vaccine, si réaction, vous ne pourrez pas porter plainte à mon encontre. Il faudra porter plainte contre l’État ».
Huit minutes après l’injection, Florence est en légère détresse respiratoire. Des plaques d’urticaire apparaissent. Elle est prise en charge par les pompiers.

La galère commence

« Jeudi 29 juillet 2021. Rendez-vous chez le médecin généraliste pour un arrêt de travail, car mon état se dégrade, dit-elle (forte fièvre, courbatures). Le temps de rester dans la salle d’attente. Elle reçoit plusieurs appels téléphoniques de la Haute Autorité de Santé. On lui dit : « vous devez être contente, vous n’êtes pas morte du Covid ».
« Je reçois aussi un appel du service de pharmacologie de Marseille qui me contacte environ tous les 2-3 jours (le temps de mon arrêt) pour connaître les effets secondaires.

Car les choses ne s’arrangent pas

« Vendredi 30 juillet 2021 fin d’après-midi, je m’urine dessus. Vraiment inquiétant. J’appelle les pompiers qui par téléphone m’indiquent qu’il s’agit probablement d’un effet secondaire de la vaccination.
Samedi 31 juillet 2021 : alors que j’accompagne ma fille de 15 ans à un anniversaire, je suis prise de maux de ventre. Consultation en urgence auprès d’un généraliste. Attestation : la patiente présente des symptômes Guillain-Barré. Je suis envoyée aux urgences où je passe une bonne partie de la nuit. Contractions aussi fortes que pour un accouchement. »
Les effets secondaires continuent : fièvre, nausée, vertiges, tension à 16 alors qu’habituellement elle varie entre 9 et 11.
Dernière semaine d’arrêt, œdèmes ulcéreux sur les jambes. »

Le dossier médical

Florence reprend le travail le 19 août avec une fatigue intense et les soucis de sphincters paralysés.
« Début décembre, j’ai envoyé de nombreux mails à la Haute Autorité de Santé, au médecin généraliste, au service de pharmacologie de Marseille, afin de faire remplir le dossier pour m’éviter une deuxième dose. Personne n’a voulu le remplir…
Il m’a été très compliqué de récupérer le dossier médical rempli par le centre de vaccination. Mais j’y suis arrivée.
Entre temps, mon allergologue me contacte en me précisant que le service d’allergologie d’Aix-en-Provence me recevra en janvier pour me faire des tests. Hospitalisation afin d’être sous surveillance. Frais de déplacement non remboursés et jour de congés payés déduit.
Quelle galère ! Et quelle histoire ! »