La question revient régulièrement sur le tapis depuis cet étrange exercice de préparation à une pandémie à New York, en octobre 2019, peu de temps avant que l’épidémie n’apparaisse à Wuhan, en Chine.
S’agit-il d’une prophétie auto-réalisatrice ou tout simplement d’un exercice effectué par ceux qui savaient pertinemment ce qui allait se passer quelques semaines plus tard ? Le fait est que la question intrigue et fait souvent pencher la balance du côté de ceux qui croient que la Covid-19 n’est qu’une fraude géante à l’échelle planétaire.
65 millions de morts en quelques mois
En effet, le 18 octobre 2019 a eu lieu à New York un exercice de simulation d’une pandémie de coronavirus, appelé Event 201. L’exercice a été organisé par l’université Johns Hopkins aux États-Unis, en collaboration avec le Forum économique mondial et la Fondation Bill Gates. Il s’agissait de préparer les dirigeants de la planète à affronter une pandémie dont les conséquences humaines et économiques pouvaient s’avérer catastrophiques. Le scénario reposait sur une épidémie de coronavirus dans un élevage de porcs au Brésil. Les dégâts humains étaient considérables avec 65 millions de morts en quelques mois.
Quelques mois plus tard, cet exercice a pris des allures de préparation à la pandémie de Covid-19. Ce qui signifie que les organisateurs savaient parfaitement ce qui allait se passer, en Chine et ailleurs. Ce dont ils ont du mal à se défendre aujourd’hui. « Pour le scénario, nous avons modélisé une pandémie fictive de coronavirus, mais nous avons explicitement déclaré qu’il ne s’agissait pas d’une prédiction », écrit l’université dans un communiqué de presse. Ce genre de simulation a déjà eu lieu avec d’autres épidémies. Quant au président du Forum Économique Mondial, Borge Brende, il dégage en touche : « Nous ne pouvions pas savoir que cet exercice deviendrait réalité quelques mois plus tard avec le coronavirus », écrit-il dans une tribune publiée en mars 2020.
Big pharma, big data, big finances…
On peut donc s’interroger sur cet exercice prémonitoire, mais on ne peut que constater que le resserrement des liens et la coopération de plus en plus étroite entre des grands dirigeants du public et du privé, entre big pharma, big data, big finances, big médias qui prennent le contrôle du monde pour mieux asservir les peuples.
Sous couvert de prévention des risques sanitaires majeurs, de protection des populations, de maintien de l’activité économique et commerciale, le Règlement sanitaire international (RSI) qui regroupe 196 pays, met en place les moyens juridiques visant à se préparer et à gérer les futures grandes épidémies.
À moins qu’il ne les provoque…. De nouveaux virus sont déjà annoncés pour les prochains mois.